A genoux devant l'argent, j'ai vu ma planète décimée. Terres saccagées, peuples pillés, les tsunamis et la guerre ont fini de les chasser. Ses victimes apatrides repoussées de nos frontières vers cette tyrannie avidement léguée. Forcés de quitter le pays qui les a vu naître. A genoux devant l'argent, j'ai vu une femme voilée, un enfant armé, un homme emmuré. C'est par idéologie, que leur pays les ravage. Broyés dans l'indifférence internationale, Alors que leurs bourreaux,...